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L’air que nous respirons, un enjeu vital

Vers une respiration plus consciente, au service du mieux-être

Chaque jour, une personne adulte effectue environ 20 000 respirations.

Autant d’occasions pour notre organisme d’absorber les particules en suspension, les vapeurs, les gaz et les agents pathogènes présents dans notre environnement immédiat — ces lieux où nous vivons, travaillons et interagissons. Avec chaque inspiration, l’air façonne notre biologie, influence notre équilibre émotionnel, agit sur notre clarté mentale et conditionne notre santé, à court comme à long terme.

Chez Fellowes, nous accompagnons les organisations à travers le monde dans la compréhension des enjeux liés à la qualité de l’air intérieur. Créer des espaces sains ne relève plus du confort, mais d’un impératif essentiel pour favoriser l’épanouissement des personnes, la performance des entreprises et la vitalité des communautés.

L’air, un enjeu vital. Explorons ensemble pourquoi.

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Longtemps reléguée au second plan, la qualité de l’air intérieur est désormais reconnue comme un pilier fondamental du bien-être en milieu professionnel.

Les recherches, les témoignages et les attentes évoluent rapidement, plaçant la QAI au cœur des stratégies de santé organisationnelle.

En 2023, Fellowes a mené une étude d’envergure sur la perception de la qualité de l’air par les employé·e·s de bureau et son impact sur la santé et la productivité. Les résultats révèlent un lien direct et significatif entre la qualité de l’air et l’expérience vécue par les travailleurs au quotidien.

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a déclaré qu’elle envisagerait de quitter son emploi en raison de problèmes liés à une mauvaise qualité de l’air intérieur.
La qualité de l’air intérieur s’impose de plus en plus comme un facteur clé de satisfaction et de performance au travail¹.1
91% icon
Une majorité de personnes sondées estime que respirer un air sain devrait être un droit fondamental pour tous les membres du personnel.
81% icon
des personnes interrogées considèrent que la surveillance de la qualité de l’air intérieur devrait être obligatoire — et pas uniquement celle du CO₂.
Les répondants ont classé les améliorations souhaitées au lieu de travail selon l’ordre d’importance suivant :
#1 icon
Un espace de travail propre, incluant un air intérieur sain
#2 icon
Des allocations santé ou des remboursements pour un abonnement à un centre d’entraînement ou de l’équipement d’exercice
#3 icon
Du café et des collations gratuits
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ont évalué la qualité de l’air dans leur milieu de travail comme étant « très propre »
Seulement 29 % des personnes interrogées (soit 33 % aux États-Unis et 25 % au Canada) considèrent que l’air de leur lieu de travail est de qualité « très propre ».
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Téléchargez le rapport Fellowes sur la qualité de l’air 2023 pour découvrir des données clés sur la santé et des recommandations concrètes pour améliorer la qualité de l’air dans votre milieu de travail.
Téléchargez le rapport pour en savoir plus.
1 Téléchargez le rapport pour en savoir plus.
2 https://www.healthaction.org/updates/04-19-22-digest
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La récente pandémie de COVID-19 a démontré que de nombreux bâtiments ne sont pas encore conçus en mettant l’accent sur la santé ou la prévention des infections respiratoires.
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Docteur Joseph Allen, professeur associé à Harvard;
Directeur du programme Harvard Healthy Buildings

Effets cognitifs sur la performance

Selon une étude menée par la Harvard T.H. Chan School of Public Health, une ventilation adéquate améliore de façon significative la capacité des personnes à réagir en situation de crise, à utiliser l’information et à élaborer des stratégies.1

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– 13 % de diminution des fonctions cognitives pour chaque augmentation de 500 µg/m³ de la concentration en COV
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– 21 % de baisse du score de performance cognitive pour chaque augmentation de 400 ppm du taux de CO₂
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– 172 % d’augmentation de l’utilisation de l’information lors de réponses en situation de crise
1 https://www.carbonlighthouse.com/blog/consumers-to-drive-u-s-economic-recovery91-say-indoor-air-quality-critical-in-fight-against-covid-19
2 L’école de santé publique T. H. Chan School of Public Health’s Center for Health and the Global Environment
Le secteur public comme le secteur privé approfondissent leur compréhension des effets de la qualité de l’air intérieur sur la santé, le bien-être et la performance.

À la suite de la pandémie de COVID-19, les autorités réglementaires, les employés et les visiteurs redéfinissent leurs propres normes en matière d’air intérieur sécuritaire. Ces exigences, parfois dictées par des cadres réglementaires et parfois par des attentes culturelles, ont des répercussions financières importantes pour les organisations, peu importe leur taille.

Les dirigeants, à tous les niveaux de la stratégie et de la gestion organisationnelle, sont de plus en plus appelés à répondre à ces nouvelles exigences en matière de qualité de l’air s’ils souhaitent demeurer concurrentiels et attirer les meilleurs talents.

Group of 5 people working around a conference table

Les employés exigent plus de transparence

Selon le Sondage Fellowes 2023 sur la qualité de l’air intérieur, les travailleurs expriment clairement le besoin d’une meilleure transparence concernant la QAI :

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Une large majorité des répondants s’accorde à dire qu’un air intérieur sain les aide à donner le meilleur d’eux-mêmes au travail.
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Une proportion importante des personnes interrogées estime que leur employeur agit pour assainir l’air intérieur, mais les résultats indiquent qu’il reste une marge d’amélioration.
Sondage Fellowes 2023 sur la qualité de l’air intérieur
Visez un apport d’au moins 5 renouvellements d’air par heure (ACH) avec de l’air pur dans les pièces de votre bâtiment. Cela contribuera à réduire la concentration de particules virales en suspension. Il peut être nécessaire de combiner plusieurs approches — ventilation, apport d’air, filtration et traitement de l’air — pour atteindre cet objectif.
En savoir plus
Les exigences relatives au débit équivalent d’air pur précisent les taux de ventilation extérieure et les niveaux de filtration nécessaires pour contrôler les contaminants normalement présents dans l’air intérieur. La norme 241 établit les exigences en matière de débit équivalent d’air pur — soit le débit d’air exempt d’agents pathogènes introduit dans les zones occupées d’un bâtiment, ayant le même effet que l’air extérieur combiné à la filtration de l’air intérieur et aux technologies de désinfection telles que la lumière ultraviolette germicide. Cette approche offre aux utilisateurs de la norme une flexibilité leur permettant de choisir les combinaisons de technologies les mieux adaptées à leurs contraintes économiques et à leurs objectifs en matière de consommation d’énergie.
En savoir plus
Trois stratégies principales sont recommandées pour atteindre les indicateurs de qualité de l’air intérieur : éliminer les sources individuelles de pollution et réduire leurs émissions, augmenter l’apport d’air extérieur, et assurer un renouvellement efficace de l’air intérieur à l’aide d’un système de filtration dédié doté de filtres haute performance.
En savoir plus

Les véritables bienfaits d’un air pur

Des études démontrent que la purification de l’air avec des filtres de qualité HEPA véritable H13 procure de nombreux avantages, tant sur le plan physique que cognitif.
Amélioration de la
productivité
Réduction des plaintes courantes, telles que celles sur les mauvaises odeurs
Réduction de l’absentéisme et du présentéisme
Création d’un environnement plus positif et axé sur la santé
Amélioration de la perception des locaux
L’infrastructure des bâtiments, les matériaux de construction et l’ingénierie jouent un rôle déterminant dans la qualité de l’air intérieur pour leurs occupants.

La qualité de l’air intérieur (QAI) est un facteur essentiel dans la création de bâtiments à la fois sains et écoénergétiques — son importance ne saurait être sous-estimée. C’est pourquoi les normes actuelles en matière de construction durable mettent l’accent sur le maintien de niveaux optimaux de QAI, tant par la conception architecturale que par l’intégration de technologies de filtration avancées. Surveiller et améliorer la qualité de l’air intérieur permet non seulement de créer des environnements plus sains, mais aussi aux propriétaires d’immeubles d’obtenir des points dans le cadre de diverses certifications de bâtiments verts ou axés sur la santé.

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78 % des employés ont affirmé qu’ils seraient plus enclins à se rendre au bureau si celui-ci détenait une certification de bâtiment sain.
Étude AirRated 2022
Découvrez comment la QAI et la surveillance de l’air contribuent à l’obtention de certifications de bâtiment.
L’air intérieur est composé d’un mélange complexe de particules et de contaminants.

Comprendre la nature et les risques associés à ces éléments en suspension dans l’air constitue la première étape vers une stratégie efficace pour les maîtriser. Chaque particule possède ses propres caractéristiques, son niveau de dangerosité et ses seuils d’exposition recommandés. C’est pourquoi une approche rigoureuse, fondée sur la science, demeure la meilleure façon de gérer et de corriger les problématiques liées à la qualité de l’air intérieur.

COVT

Que sont les COV?

  • Les composés organiques volatils (COV) sont un groupe de substances chimiques organiques qui s’évaporent facilement à température ambiante. Ils peuvent être émis par une grande variété de sources, notamment les matériaux de construction, les produits de nettoyage, les peintures, les solvants, les carburants et même les produits de soins personnels, comme le parfum.
  • Les COV se caractérisent par une pression de vapeur élevée et une faible solubilité dans l’eau.
  • Parmi les COV courants, on retrouve :Formaldéhyde (matériaux de construction, meubles), Benzène (émissions, fumée de tabac), Toluène (peintures, produits de nettoyage),  Xylène (imprimerie, caoutchouc, peintures), Styrène (matériaux d’emballage, isolants), Acétone (vernis à ongles, peintures).

Quels sont les dangers?

  • Une exposition à court terme peut provoquer des maux de tête, de l’asthme, des réactions allergiques, des étourdissements, des nausées et une perte de coordination. Une exposition prolongée à des concentrations élevées de COV peut entraîner des atteintes au foie et aux reins, des maladies respiratoires et cardiovasculaires, ainsi que certains types de cancer.
  • Les COV peuvent persister dans les environnements intérieurs sur de longues périodes, entraînant des expositions chroniques.

Quels sont les niveaux sécuritaires et comment les mesurer?

  • Réduisez la présence de COV dans un nouvel espace en choisissant des produits à faibles émissions, certifiés par des écolabels comme GREENGUARD.
  • De manière générale, une concentration totale de COV inférieure à 0,5 mg/m³ est jugée acceptable. Toutefois, certains composés individuels peuvent nécessiter des seuils beaucoup plus bas. Par exemple : Le formaldéhyde a un seuil limite (TLV-TWA) de 0,1 ppm sur 8 heures et une valeur limite d’exposition de courte durée (TLV-STEL) de 0,3 ppm sur 15 minutes.
  • Utilisez des indices de référence comme RESET Air pour évaluer les seuils sécuritaires et optimaux.
  • Installez des capteurs de qualité de l’air intérieur pour assurer une surveillance continue et détecter les zones problématiques.
  • Utilisez des purificateurs d’air dotés de filtres au charbon actif pour réduire efficacement la concentration de COV.
multiple people sitting around a long skinny table in an office building

Dioxyde de carbone (CO₂)

Qu’est-ce que c’est?

  • Le dioxyde de carbone est un gaz incolore et inodore. Il est produit naturellement, mais également par les activités humaines, telles que la combustion de l’essence, du charbon, du pétrole ou du bois. Dans un espace fermé, les occupants émettent du CO₂ en expirant, ce qui contribue à l’augmentation de sa concentration dans l’air.
  • Un taux élevé de CO₂ peut être un indicateur d’une ventilation insuffisante ou d’un mauvais fonctionnement du système CVC. En outre, la surveillance du CO2 peut être utilisée pour évaluer le risque de transmission de maladies respiratoires à l’intérieur des bâtiments.

Quels sont les dangers?

Une exposition à court terme à des niveaux élevés peut provoquer des maux de tête et de la somnolence. À des concentrations plus importantes, elle peut entraîner une respiration accélérée, de la confusion, une pression artérielle élevée. Dans des cas extrêmes, elle peut mener à une asphyxie.

Quels sont les niveaux sécuritaires et comment les mesurer?

  • Utilisez des normes comme l’indice RESET Air pour déterminer les seuils sécuritaires et optimaux.
  • Utilisez des capteurs de qualité de l’air intérieur pour surveiller en continu et repérer les zones problématiques.
Niveaux de CO₂
Recommandations
400 ppm
Air extérieur normal
400-1000ppm
Niveaux typiques à l’intérieur. Les bâtiments à haute performance devraient viser moins de 800 ppm, bien qu’un niveau allant jusqu’à 1000 ppm soit jugé acceptable.
1000-2000ppm
Plaintes fréquentes de somnolence ou de mauvaise qualité de l’air. Généralement le premier signe d’une ventilation insuffisante ou d’une surpopulation.
2000-5000ppm
Associé à des maux de tête, de la fatigue, une sensation d’air stagnant, des difficultés de concentration, une fréquence cardiaque accrue, des nausées.
>5000 ppm
Risque de toxicité ou de privation d’oxygène. REMARQUE : il s’agit de la limite d’exposition quotidienne permise dans les milieux de travail.

Matières particulaires (PM) – PM2,5, PM1,0

Qu’est-ce que c’est?

  • Les matières particulaires sont des particules microscopiques solides ou liquides en suspension dans l’air.

Quels sont les dangers?

  • Les particules fines de 2,5 microns ou moins de diamètre (PM2,5, PM1,0) ont des effets néfastes accrus à court et à long terme, car elles pénètrent plus profondément dans les voies respiratoires. L’œil humain perçoit généralement les particules à partir de 25 microns, mais ce sont les particules de 0,3 à 0,9 micron qui représentent souvent le plus grand risque pour la santé.
  • Malgré une sensibilisation croissante aux impacts sur la santé, les sources intérieures de PM 2,5 et leur concentration ont longtemps été négligées dans les normes et codes (sauf dans les établissements de santé), jusqu’à récemment.

Quels sont les niveaux sécuritaires et comment les mesurer?

  • L’EPA, l’OMS, RESET et d’autres organismes ont établi des recommandations sur les limites d’exposition.
  • La concentration de PM 2,5 devrait rester inférieure à 12 microgrammes par mètre cube sur une période de 24 heures.
  • Utilisez des capteurs de qualité de l’air intérieur pour surveiller en continu et repérer les zones problématiques.
  • L’utilisation de purificateurs d’air munis de filtres HEPA permet de réduire efficacement les niveaux de PM 2,5.
photo of a blue-green empty room with particulates floating in the air

Les virus

Qu’est-ce que c’est?

  • Les virus sont des particules submicroniques de moins de 2,5 microns, présentes chez les animaux, les végétaux et d’autres organismes vivants.

Quels sont les dangers?

  • Une mauvaise qualité de l’air intérieur, aggravée par la présence de bactéries, de virus et de germes, favorise la transmission entre les employés et les visiteurs, ce qui entraîne des maladies.
  • L’absentéisme pour cause de maladie coûte 225,8 milliards de dollars par an aux employeurs américains en perte de productivité. Le coût moyen annuel de l’absentéisme par employé est de 1685 dollars.
image of virus particles floating around a room filled with people

Quels sont les niveaux sécuritaires et comment les mesurer?

  • La norme 241 de l’ASHRAE sur le contrôle des aérosols infectieux établit des exigences minimales visant à réduire les risques de transmission de maladies par voie aérienne dans les espaces intérieurs. Cette norme introduit des cibles en matière de débits équivalents d’air pur, qui vont au-delà des taux de ventilation définis par la norme précédente, ASHRAE 62.1, utilisée jusque-là comme référence en matière de ventilation et de qualité de l’air acceptable.
  • Les nouvelles exigences de ventilation définies par la norme 241 peuvent augmenter les taux de ventilation des bâtiments jusqu’à dix fois par rapport aux normes actuelles.
  • Selon l’ASHRAE, « la norme 241 innove en définissant le débit équivalent d’air pur (ECAi), soit le débit d’air exempt d’agents pathogènes introduit dans les zones occupées d’un bâtiment, ayant le même effet que l’air extérieur combiné à la filtration de l’air intérieur et à la désinfection par des technologies telles que la lumière ultraviolette germicide (UV-C). »
  • En plus de réduire les risques d’infection, les solutions de purification de l’air mises en place pour se conformer à la norme 241 peuvent également contribuer à éliminer la fumée des feux de forêt qui s’infiltre dans les bâtiments — une problématique de plus en plus présente alors que la qualité de l’air ambiant est affectée par des événements lointains.
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Connaissez-vous la composition de l’air intérieur de votre bâtiment?

Planifiez une évaluation gratuite de la qualité de l’air intérieur. Un spécialiste de la QAI de Fellowes vous aidera à comprendre l’état actuel de votre air intérieur et à élaborer un plan d’action pour l’améliorer.

Planifiez votre évaluation gratuite de la QAI
Beaucoup de personnes se fient à leurs sens pour évaluer la qualité de l’air. Or, si la brume, l’humidité, les odeurs ou les goûts donnent des indications, les particules invisibles à l’œil nu sont souvent les plus dangereuses.

Les PM (particules fines) constituent une échelle de mesure pour des particules microscopiques comme la poussière, les virus, la fumée ou les résidus transportés par la fumée. En raison de leur taille extrêmement réduite, ces particules échappent aux mécanismes de défense de l’organisme humain et peuvent pénétrer profondément dans les poumons, le système sanguin et même les cellules.

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Lors de l’élaboration d’une stratégie de qualité de l’air intérieur, il est essentiel de veiller à ce que votre système de purification soit conçu pour éliminer les particules PM 2,5 et plus petites.
La taille relative des particules
Les particules de 10 microns ou moins (PM10) sont suffisamment petites pour être inhalées jusqu’aux poumons.
Voici un aperçu…
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Cheveu humai
70 μm
Particule de poussière :
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9 μm
Globule rouge :
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7-8 μm
Particule de poussière :
image of a dust particle
2 μm
Bactérie :
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1-3 μm
Fumée de feu de forêt :
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0.4 - 0.7 μm
Coronavirus :
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0.1 - 0.5 μm
Assurer un accès adéquat à un air pur pour les occupant·e·s est un processus évolutif qui repose sur une surveillance continue, une évaluation rigoureuse et une amélioration constante.

Guidée par les recherches scientifiques les plus récentes, Fellowes recommande et met en œuvre une approche intégrée pour créer des environnements sains, qui non seulement traitent les contaminants présents dans l’air, mais en limitent également la propagation et la capacité à affecter les espaces connectés.

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Plan d’atténuation du risque multiniveau pour améliorer la qualité de l’air

Chaque bâtiment et chaque espace intérieur possède un ensemble unique de variables et de conditions qui déterminent la stratégie idéale de gestion de la qualité de l’air. La Harvard T.H. Chan School of Public Health recommande une méthodologie en entonnoir pour améliorer la qualité de l’air, les niveaux supérieurs de l’entonnoir représentant des interventions opérationnelles, et les niveaux inférieurs, des améliorations matérielles et infrastructurelles.

Fellowes peut vous accompagner dans l’élaboration d’un plan de QAI adapté à votre espace.
Commençons dès maintenant
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Fellowes peut vous accompagner dans l’élaboration d’un plan de QAI adapté à votre espace.
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Les systèmes CVC modernes sont extrêmement efficaces pour faire circuler l’air et réguler la température, mais ils ne sont pas conçus pour relever les défis multidimensionnels liés à la gestion de la qualité de l’air.

En tant que matière fluide, l’air adopte un comportement irrégulier une fois confiné dans un espace. Même avec des systèmes de ventilation puissants, le CVC ne parvient pas toujours à faire circuler l’ensemble du volume d’air, ce qui entraîne l’accumulation et la concentration de contaminants et de particules. Ces propriétés physiques soulignent l’importance de la surveillance de l’air — lorsqu’elle est utilisée en complément du CVC — pour améliorer considérablement la qualité de l’air intérieur.

En installant des technologies de surveillance adéquates dans tout le bâtiment et en les intégrant aux données de performance des systèmes CVC, les gestionnaires peuvent mieux comprendre où les contaminants stagnent et intervenir dans les zones problématiques par la filtration d’air autonome, l’augmentation de la circulation ou les deux.

L’importance de la qualité de l’air intérieur dans les immeubles commerciaux
La plupart des systèmes CVC réutilisent l’air pour maximiser l’efficacité énergétique. Cependant, cette recirculation ne se fait pas toujours uniformément, ce qui peut entraîner une stagnation de l’air.
L’air intérieur contient en moyenne 70 % de contaminants de plus que l’air extérieur, en raison des personnes, des produits d’entretien, des matériaux de construction, des polluants extérieurs, de la moisissure, et plus encore.

Une approche scientifique, technique et centrée sur l’humain de la qualité de l’air intérieur

Pour mettre en place une stratégie de gestion efficace de la qualité de l’air, Fellowes recommande cinq actions essentielles qui répondent aux besoins opérationnels et techniques prioritaires :
Intégrer une technologie de purification de l’air performante reposant sur la filtration HEPA H13
La qualité de l’air est trop déterminante pour la santé et le bien-être humain pour être laissée au hasard. La filtration H13 est la méthode la plus efficace pour éliminer 99,95 % des contaminants jusqu’à 0,1 micron, soit ceux qui ont le plus d’impact sur la santé.
Identifier les zones problématiques grâce à des capteurs de qualité de l’air intérieur pour assurer une surveillance continue et fournir des données pertinentes
La surveillance continue permet de détecter les niveaux élevés de contaminants et de recueillir des données utiles. L’analyse en temps réel à l’échelle de l’ensemble du bâtiment amplifie la portée de ces informations.
Considérer la QAI avec la même attention que les éléments visuels ou sonores
Pour de nombreux propriétaires d’immeubles, l’esthétique et l’ambiance priment. Mais en réalité, la qualité de l’air influence profondément la manière dont les personnes perçoivent et vivent un espace — tant sur le plan conscient qu’inconscient - y compris ses effets sur la santé physique.
Adapter les solutions de purification aux caractéristiques d’occupation de chaque espace
Chaque lieu est unique et nécessite une stratégie personnalisée en matière de qualité de l’air, fondée sur son usage réel et le profil de ses occupants. Profitez de l’évaluation gratuite de la qualité de l’air offerte par Fellowes pour bien cerner les besoins de vos espaces.
Offrir de la transparence sur la QAI pour rassurer les occupants.
Les recherches démontrent que les employés et les visiteurs veulent savoir si l’environnement dans lequel ils évoluent respecte les exigences minimales en matière de qualité de l’air.
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Êtes-vous prêt à mettre en œuvre une stratégie efficace de gestion de la qualité de l’air dans votre organisation?

La première étape est simple : profitez de l’évaluation gratuite de la QAI offerte par Fellowes. Nous vous aiderons à comprendre l’état de votre air intérieur actuel et à élaborer un plan d’action concret pour l’améliorer.

Planifiez votre évaluation gratuite de la QAI

Les solutions de gestion de la qualité de l’air signées Fellowes illustrent notre engagement de longue date à créer un meilleur environnement de travail.

Depuis plus de 15 ans, Fellowes collabore avec des entreprises et des décideurs pour concevoir et maintenir des espaces de travail intérieurs sains grâce à une gestion rigoureuse de la qualité de l’air. En développant des technologies de purification de l’air innovantes et des services de conseil centrés sur les personnes, nous aidons les organisations à s’attaquer aux causes profondes de la mauvaise qualité de l’air, à améliorer le bien-être physique des individus, à renforcer la productivité et à soutenir l’épanouissement professionnel dans la poursuite d’objectifs ambitieux.