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STOPPEZ LA PROPAGATION DES VIRUS ET DES BACTÉRIES AVEC LES PURIFICATEURS D’AIR D’INTÉRIEUR

La qualité de l'air que nous respirons peut être un facteur déterminant dans le fait d'attraper un rhume, une grippe ou un virus - ou de ne pas l'attraper du tout.

La gestion de la qualité de l’air intérieur est devenue un sujet encore plus pressant ces deux dernières années, en partie grâce à la COVID-19 et à une meilleure compréhension de la facilité avec laquelle les infections virales et bactériennes peuvent se transmettre d’une personne à l’autre.

Bien que personne n’ait souhaité qu’une pandémie nous sensibilise à ce sujet, nous savons désormais que la qualité de l’air dans un bâtiment a un impact direct sur les risques de transmission de maladies, telles que les virus.

Propagation virale

Les connaissances acquises au cours de l’épidémie de la COVID-19 ont conduit l’Organisation mondiale de la santé¹ (OMS) à reconnaître officiellement, en 2021, que les particules virales propagées lorsqu’elles quittent la bouche ou le nez d’une personne infectée restent en suspension dans l'air et sont inhalées par quelqu'un d'autre.

L'OMS a déclaré que les personnes infectées émettent de petites particules liquides de différentes tailles, allant des grosses gouttelettes respiratoires à des aérosols plus petits, lorsqu'elles toussent, éternuent, chantent, respirent bruyamment ou parlent.

Les grosses gouttelettes tombent généralement sur le sol ou sur des surfaces, tandis que les petits aérosols peuvent rester en suspension dans l’air pendant des heures. Même si la personne a quitté la pièce, son infection virale peut encore guetter d’autres personnes.

Dans les pièces mal ventilées, la quantité de virus dans l’air peut s’accumuler, ce qui accroît le risque de propagation, surtout si de nombreuses personnes sont infectées dans ces espaces.

Les environnements bondés ou mal ventilés sont non seulement un cadre idéal pour que les aérosols viraux restent en suspension dans l’air, mais aussi pour que ces aérosols se déplacent plus loin que d’habitude.

Le coût pour les entreprises

Les pandémies mises à part, d’autres formes de virus, comme les simples rhumes et grippes, peuvent faire des ravages sur la productivité des entreprises.

Un air de mauvaise qualité a un impact sur le plan personnel et professionnel. En effet, l'absentéisme pour cause de maladie coûterait, en France, 1800€/salarié par an, dont 25% serait attribué à la mauvaise qualité de l'air.

En fait, les rhumes, les grippes et autres affections de courte durée restent la raison la plus fréquente des absences pour maladie.

Il ne fait aucun doute que les organisations paient un lourd tribut du fait que les gens se transmettent des maladies, et que cela résulte en partie de la mauvaise qualité de l’air intérieur sur les lieux de travail, dans les écoles, dans les foyers et ailleurs.

Mesures préventives

La gestion de la qualité de l’air intérieur est la clé d'un environnement de travail plus sain.

En surveillant l'air, les organisations peuvent mieux comprendre la qualité de l'air sur leur lieu de travail et maintenir les niveaux de polluants à un minimum.

Dans tout environnement qui ne peut pas être ventilé fréquemment, par exemple en laissant les fenêtres ouvertes, la purification de l’air intérieur permet de remplacer fréquemment et rapidement l’air contaminé par de l’air propre, et d’éliminer rapidement d’une pièce les virus, allergènes et autres polluants en suspension dans l’air.

Pour en savoir plus sur les dernières solutions de gestion de la qualité de l’air intérieur de Fellowes, y compris notre système de filtration HEPA H13 à quatre niveaux qui élimine 99,99 % de la COVID-19, rendez-vous sur le site :

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